Le Front des Organisations Démocratiques Togolaises en Exil
Il est plus que temps de bouter dehors le tyranneau Faure Gnassingbé et de détruire le système dictatorial, conditions indispensables pour instaurer la démocratie.
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Le mouvement populaire qui se déroule actuellement a suscité et suscite des interrogations parmi les compatriotes tant sur le sol national que dans la diaspora. Certaines de ces interrogations nous interpellent: on veut connaître notre position à ce propos, savoir ce que nous en pensons, si nous l’approuvons ou non, s’il faut y participer ou non, et dans l’affirmative avec quel mot d’ordre. Nous avons essayé de faire une synthèse de ces interrogations et d’y répondre en présentant l’ensemble sous la forme de questions-réponses. Ce qui nous permet de rappeler par la même occasion nos positions (la position des démocrates) sur les questions essentielles touchant à la lutte pour la démocratie. Voici donc l’essentiel.
L’ORGANISATION ET LA LUTTE SONT LES SEULES VOIES POUR CONQUERIR LA DEMOCRATIE !
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Depuis plus d’un mois le peuple togolais est de nouveau descendu massivement dans la rue. Depuis plus d’un mois les masses populaires, coude à coude, sur toute l’étendue de notre pays, toutes ethnies confondues, avec un courage inouï, une détermination admirable, affrontent ce pouvoir et la répression barbare à laquelle ce dernier n’hésite pas à recourir : tabassages, tirs à balles réelles, violation de domicile à la poursuite des manifestants... (Le nombre élevé des blessés et des arrestations, outre les deux morts officiels, témoigne de la violence réactionnaire des affrontements). Il est vrai que c’est à partir des revendications sur les réformes constitutionnelles sur le retour à la constitution de 1992, à l’élection présidentielle à deux tours, à la limitation du nombre des mandats présidentielles etc. que le mouvement actuel a démarré, à l’initiative de Tikpi Salifou Atchadam, le leader du Parti national panafricain (PNP). Mais très vite cette revendication est apparue dépassée; maintenant ce que le peuple exige clairement et sans ambages, c’est le départ de Faure Gnassingbé.
A propos du mot d’ordre ABLODÉ.
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Il ne fait aucun doute que la lutte des peuples du Togo remonte au début de la conquête militaire de notre pays par l’impérialisme allemand entre 1884-1914. Cette lutte avait pris plusieurs formes et diverses voies jusqu’en janvier 1933 où les femmes de Lomé à l’instar de celles du petit marché (Assivito) se sont vaillamment levées contre les colonialistes français. Aujourd’hui, en ce mois d’avril 2016, nous inclinons devant la mémoire de tous les martyrs en pays Kabyè, en pays Ouatchi; rendons un hommage aux Aplangavio qui ont défié militairement les forces colonialistes; aux notables de Lomé, aux chefs supérieur Kotokoli et aux chefs Bassar, Akposso, de Mango, de Notsè, d’Aneho, de Kpalimé qui ont scellé une grande alliance patriotique et compris très tôt qu’il faut à tout prix chasser le colonialisme français de notre pays. C’est cette intrépide lutte pour, l’ABLODÉ, l’indépendance qu’incarnait à tous les niveaux le CUT, la JUVENTO, le MPT, le mouvement syndical -UGTT- et le mouvement étudiant –Jeunes-Togo-FEANF jusqu’à la victoire d’avril 1958.
Il y a onze ans, Etienne Eyadema Gnassingbe, le plus grand criminel de l'ère néocoloniale mourrait tranquillement dans son lit.
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Le texte que nous republions ci-dessous avait été publié en février 2005 par L'EXILÉ, l'une des composantes de notre plateforme TOGO EN LUTTE. Nous le republions pour dénoncer pour la énième fois les immondes crimes de sang et économique commis par Etienne Eyadema contre notre peuple. Qu'on se le tienne pour dit: en dépit des perfides manœuvres des faux démocrates pour repeindre en rose la dictature barbare du clan Eyadema; les odieux crimes de son régime et celui de son dauphin fils ne resteront pas impunis.